Il était un ami intime et ancien précepteur de Pline l’ancien qui rédigea sa biographie. Son chef Tacitus le décrit comme un homme brillant et raffiné. Son amitié pour Séjan et son frère le rendirent politiquement suspect. Il échappa à la mort en restant à résidence dans la maison de son frère jusqu’à l’accession de Caligula.
Pendant sa retraite forcée, il composa des tragédies qui furent jouées pendant le règne de Claude. En l’an 50, il se distingua à la bataille contre la tribu germanique des Chattes [1]. Il accordait plus d’attention aux subtilités de la grammaire et au style dans lesquels il passait pour maître. Il ne reste que quelques lignes de ses œuvres dont certaines appartiennent à la tragédie de L’Énéide.