3 mai 2014, par lucien jallamion
Adèle de Champagne (1150-1206)
Épouse du roi Louis VII, elle prend sur son mari un grand ascendant, obtient pour son frère Guillaume l’évêché de Chartres et, avec celui-ci, dirige pratiquement les affaires publiques pendant les dernières années du règne et après la mort de Louis VII.
C’est seulement au bout de plusieurs années que Philippe Auguste, héritier du trône, réussit à renforcer sa propre autorité en se soustrayant au joug de sa mère et de son oncle. Elle est néanmoins nommée régente du royaume (...)
3 mai 2014, par lucien jallamion
Guermond 1er (vers 1080- vers 1131)
Seigneur de Picquigny-Patriarche de Jérusalem-Régent du royaume de Jérusalem de 1123 à 1124
Il épousa Béatrix de Daours, fille de Jean de Daours, seigneur de Daours.
Les seigneurs de Picquigny sont avoués de l’abbaye de Corbie et vidames d’Amiens [1], avoué héréditaire de l’évêché d’Amiens. Par délégation de l’abbaye de Corbie, il avait le droit de frapper (...)
2 mai 2014, par lucien jallamion
Guillaume 1er de Bellême (mort entre 1027 et 1035)
Seigneur de Bellême et sire d’Alençon
Il est le fils d’Yves l’Ancien, probable ancêtre de la famille de Bellême
Avant 1026, Guillaume de Bellême combat son seigneur Herbert 1er du Maine . Grâce à l’aide de Giroie, il le bat. Guillaume est alors un fidèle du duc de Normandie Richard II.
En 1027-1028, il se révolte contre le nouveau duc de Normandie Robert le Magnifique. Pour lui résister, il se retranche dans son château d’Alençon. Mais le duc le (...)
2 mai 2014, par lucien jallamion
Etienne Harding (mort en 1134)
Prieur puis abbé de l’Abbaye de Cîteaux de 1099 à 1133
Il fut notamment rédacteur de la Charte de charité cistercienne [1]. Natif du royaume d’Angleterre, il parlait 4 langues, l’anglo-saxon, le normand, le français et le latin.
Il mena à terme la réforme liturgique commencée avant lui. Pour reprendre l’ordonnance de la Règle, il y avait beaucoup à faire par rapport à la pratique de Cluny, aux offices démesurément allongés, au faste abondant. On rejeta donc tout ce qui, (...)
30 avril 2014, par lucien jallamion
Suppression du tribunal révolutionnaire en 1795 ce qui met fin à la Terreur Une séance du Tribunal révolutionnaire. Source : book La Démagogie en 1793 à Paris by Dauban (H. Plon ; 1868)
Le 4 février 1795, débute à Paris ce que l’on a appelé la Terreur blanche. Les royalistes et fanatiques religieux réagissent de manière sanglante contre les révolutionnaires. Le mouvement s’étend en particulier dans tout le sud-est de la France où il trouve des complices au sein même des autorités qui cherchent à (...)