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Ermengarde d’Anjou dite Blanche

lundi 17 avril 2023, par lucien jallamion (Date de rédaction antérieure : 11 décembre 2011).

Ermengarde d’Anjou dite Blanche (morte en 1076)

Les armes de la 1re maison d'Anjou attestées depuis Geoffroy V Plantagenêt mais peut-être antérieures.Fille de Foulque III Nerra, comte d’Anjou [1], et d’Hildegarde.

Elle épousa en premières noces Geoffroy II Ferréol, comte du Gâtinais [2]. Elle était déjà veuve lorsque sa mère partit en pèlerinage à Jérusalem [3] en 1046 et décéda pendant le voyage.

Elle se remaria avec Robert 1er dit le Vieux, duc de Bourgogne.

Son frère Geoffroy II Martel mourut en 1060. Elle fut assassinée le 18 mars 1076 en l’église de Fleurey-sur-Ouche et ce furent ses neveux Geoffroy et Foulques qui lui succédèrent.

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Ermengarde d’Anjou dite Blanche/ Portail du Moyen Âge central/ Catégories  : Ingelgeriens/ Duchesse de Bourgogne/ Comtesse française

Notes

[1] Dans l’histoire de l’Anjou, le comté d’Anjou émerge au 10ème siècle en conséquence de la dislocation du royaume carolingien. Il devient l’une des plus importantes principautés du royaume de France aux 11ème et 12ème siècles. En 1204, le roi de France Philippe Auguste met la main sur le comté. Celui-ci retrouve une certaine autonomie à partir du règne de Saint Louis en tant qu’apanage. L’Anjou est érigé en duché au début de la guerre de Cent Ans.

[2] Le Gâtinais se situait entre les villes d’Orléans et de Fontainebleau, et fut possédé par des seigneurs à qui fut confié la vicomté d’Orléans. À la fin du 10ème siècle, les vicomtes d’Orléans s’intitulaient comtes de Gâtinais. L’un d’eux, Geoffroy II Ferréol, épouse la sœur d’un comte d’Anjou et leur fils devint comte d’Anjou à l’extinction de la famille des Ingelgeriens. L’un de ses descendants sera Geoffroy V Plantagenêt.

[3] Ville du Proche-Orient que les Israéliens ont érigée en capitale, que les Palestiniens souhaiteraient comme capitale et qui tient une place centrale dans les religions juive, chrétienne et musulmane. La ville s’étend sur 125,1 km². En 130, l’empereur romain Hadrien change le nom de Jérusalem en « AElia Capitolina », (Aelius, nom de famille d’Hadrien ; Capitolina, en hommage au dieu de Rome, Jupiter capitolin) et il refonde la ville. Devenue païenne, elle est la seule agglomération de la Palestine à être interdite aux Juifs jusqu’en 638. Durant plusieurs siècles, elle est simplement appelée Aelia, jusqu’en 325 où Constantin lui redonne son nom. Après la conquête musulmane du calife Omar en 638, elle devient Iliya en arabe, ou Bayt al-Maqdis (« Maison du Sanctuaire »), équivalent du terme hébreu Beit ha-Mikdash (« Maison sainte »), tous deux désignant le Temple de Jérusalem, ou le lieu du voyage et d’ascension de Mahomet, al-Aqsa, où se situait auparavant le temple juif