Après 3 années de vacance du siège, il est nommé patriarche à la place de Sisinios II qui était un simple laïc.
Membre de la famille du patriarche Photios et higoumène [1] du monastère de Manuel, il fut farouchement opposé aux réformes de Basile II, notamment le rétablissement de l’allèlengyon [2].
Il essaya aussi de mettre en place une dualité à la tête de l’Église chrétienne en coupant les relations avec Rome sans succès. Il ne réussit pas non plus à obtenir de l’empereur victorieux des Bulgares, comme il l’avait promis, d’abolir l’allèlengyon.