29 septembre 2021, par lucien jallamion
Ceolnoth (mort en 870)
Ecclésiastique anglo-saxon-Archevêque de Cantorbéry de 833 à sa mort
Il parvient à un accord avec le Wessex [1], nouveau suzerain du Kent [2], en 838. Il ne rencontre pas le même succès avec les Vikings [3], dont les attaques sur les monastères côtiers se font de plus en plus fréquentes, entraînant un fort déclin de la vie monastique.
D’après le chroniqueur du 12ème siècle Gervais de Canterbury , Ceolnoth est le doyen du siège de Cantorbéry avant son élection (...)
28 septembre 2021, par lucien jallamion
Abû al-Wâlîd Hichâm ben Abd al-Malik (691-743)
Calife omeyyade
Quatrième fils de Abd al-Malik à porter le titre de calife [1]. Il succède à son frère Yazîd en 724. Il poursuit les réformes initiées par Umar au cours d’un règne assez long. À l’instar de son frère Al-Walîd, il soutient les arts et l’éducation en faisant construire des établissements scolaires et aussi en encourageant la traduction de nombreux ouvrages en arabe.
Comme Umar, il veut une application plus rigoureuse de la charia [2] y compris au (...)
28 septembre 2021, par lucien jallamion
AEthelberht d’York (mort en 779/780)
Archevêque d’York en 766
La biographie d’AEthelberht est principalement connue grâce à un poème sur les évêques et saints d’York [1] rédigé par le moine Alcuin, élève et ami proche d’AEthelberht. Alcuin le décrit comme un archevêque modèle et un exemple à suivre.
Il appartient à la famille de son prédécesseur Ecgberht, le frère du roi Eadberht de Northumbrie. Placé dans un monastère à un jeune âge par sa famille, il étudie à l’école fondée à York par Ecgberht.
Une fois (...)
28 septembre 2021, par lucien jallamion
Abū Ḫālid An-Nāqiṣ Yazīd ibn Al-Walīd dit Yazīd III le Réducteur (705-744)
Douzième calife omeyyade
Il succède à son cousin Al-Walīd II en 744. Il est le fils d’Al-Walīd 1er et d’une princesse sogdienne [1]. À la mort de son père, il ne peut lui succéder, étant trop jeune. Pendant le règne de son cousin Al-Walīd II, Yazīd se prononce contre son attitude, jugée immorale, ainsi que sa politique qui favorise les Arabes, notamment les Banū Qays [2], aux dépens des Yéménites (...)