Il lutte pour la suprématie de son peuple, en Gaule au cours du 1er siècle av. jc. Le général romain Jules César le soutient contre son rival plus anti-romain, Indutiomaros.
Cependant, Indutiomaros persuade son peuple de se joindre à la révolte dirigée par le chef éburon [1] Ambiorix . En 54 av. jc, celui-ci déclare Cingétorix ennemi de la patrie et confisque ses biens.
Cingétorix s’est présenté au légat [2] de César, Titus Labienus, qui a vaincu et tué Indutiomaros lors d’un engagement de cavalerie.
D’après Jules César, les Trévires [3] donnèrent le commandement à ses proches, et en 53 av. jc, ont de nouveau monter une campagne contre les troupes romaines conduites par Labienus.
Les Trévires ont encore été vaincus. César écrit à ce moment-là, Cingétorix qui, comme nous l’avons vu, était toujours resté dans le devoir, reçut le gouvernement suprême de sa nation.
En 54 av. J.-C., à l’époque de la Guerre des Gaules, Cingétorix et son beau-père, Indutiomaros, luttent pour la suprématie sur leur peuple, les Trévires. Ce peuple gaulois habite dans l’Est de Gaule et est organisé comme une république noble avec une aristocratie puissante et plusieurs dirigeants.
Avant sa 2ème campagne en Bretagne [4], Jules César s’installe chez les Trévires, dont l’attitude semble très incertaine. Cingétorix prend immédiatement parti pour le puissant général romain et lui raconte également les activités de la tribu pendant que son antagoniste Indutiomaros se montre anti-romain.
César résout pacifiquement le conflit de pouvoir des chefs Trévires en donnant la suprématie à Cingétorix et en affaiblissant la position de son rival, qui devait octroyer 200 otages.