25 juillet 2013, par lucien jallamion
Les rouages de l’Etat au 18ème siècle Les offices vénaux et héréditaires peuvent être rachetés par les villes.
A la fin du 18ème siècle, les instances gouvernementales sont très compliquées. Héritières d’une longue tradition, elles sont devenues une lourde machine administrative.
Concentrant en sa personne tous les pouvoirs, le roi doit les exercer lui-même. Jusqu’à la fin de l’Ancien Régime, l’idéal officiel reste celui d’un souverain prenant personnellement toutes les décisions. Cependant, il doit (...)
23 juillet 2013, par lucien jallamion
La bourgeoisie attend son heure Gravure représentant la fosse du Chaufour (1762-1884) dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
Turgot, fils d’un prévôt des marchands de Paris, puis le banquier Necker, tentent, dès le début du règne, d’instaurer une économie libérale et de promouvoir la révolution industrielle. Mais la France reste un pays agricole et artisanal.
Tandis qu’en Angleterre, depuis les années 1730, l’on assiste à un vaste bouleversement des moyens de production et des conditions de (...)
23 juillet 2013, par lucien jallamion
Conrad II de Bourgogne (vers 835-876)
Comte d’Auxerre et duc de Bourgogne Transjurane de 859 à 864
Fils de Conrad 1er de Bourgogne et d’Adélaïde d’Alsace. Il épousa Judith de Frioul , fille du marquis Eberhard de Frioul, avec laquelle il eut une fille Adalgunde . En 2ème noce il épousa Waltrade ou Ermentrude de Wormsgau .
19 juillet 2013, par lucien jallamion
Fulvia Flacca Bambula dite Fulvie (77 av jc-40 av jc)
Elle fut une figure féminine importante de la fin de la République romaine. Née à Rome, son père était Marcus Fulvius Flaccus Bambalio, un préteur romain, fils de Marcus Fulvius Flaccus, Consul de la République romaine en 125 av jc. La mère de Fulvia était Sempronia Gracchae, la fille deCaius Sempronius Gracchus, l’un des Gracques.
A la mort de sa mère, en 63 av jc, elle devint l’héritière de la grande fortune de la maison des Gracques et c’est (...)
19 juillet 2013, par lucien jallamion
Ariston de Chios (né au 4ème siècle av. jc)
Philosophe
Originaire de Chio [1]. On le surnommait « la Sirène » : il semble qu’il ait su persuader les foules, car Timon de Phlionte, dans son poème Les Silles. Ayant fondé une école qui ne dura pas, il eut pour élèves Ératosthène, Miltiade et Diphile. Chauve, on le dit mort d’une insolation.
D’après le témoignage de Sénèque, Ariston aurait jugé la physique et la logique non seulement comme superflues, mais encore comme contradictoires.
Il jugeait la logique (...)