Il a publié plusieurs ouvrages, la plupart remplis d’absurdités et qui lui ont attiré une foule de sarcasmes et de plaisanteries.
Il avait adopté les opinions fanatiques de Jakob Böhme, savetier visionnaire ; il se déchaîna particulièrement contre les spectacles, qu’il appelait le triomphe du diable. On doit excepter cependant de la prescription quelques-unes de ses productions, principalement son Appel sérieux à une vie dévote, ouvrage plein d’une véritable piété, d’érudition, de sagacité, écrit d’un style clair et énergique, qui a été loué par Johnson, et par Gibbon qui était son parent.
Son œuvre, “The Way to Divine Knowledge”, fut traduite en français, en 1805, par le comte de Divonne. ll perd ses charges au Collège Emmanuel de l’Université de Cambridge [1] après son refus de porter serment d’allégeance au roi George 1er.
Il consacre le reste de son existence à son abondante production littéraire, l’enseignement et les activités de charité.
Il écrit sur des sujets relatifs à la musique notamment “The absolute unlawfulness of the stage-entertainment fully demonstrated”.