12 mai 2015, par lucien jallamion
Viriate ou Viriatus (vers 180 av. jc-139 av. jc)
On ne sait rien de ses origines même si les auteurs latins qui en parlent en font un berger élevé dans les montagnes des territoires des Lusitaniens [1]. Il apparaît sur la scène historique lors du massacre des Lusitaniens par le préteur [2] romain Servius Sulpicius Galba en 150 av. jc auquel il survit.
Viriate prit progressivement la tête des différentes troupes lusitaniennes et commença une lutte sans merci avec les troupes romaines. Il eut son (...)
12 mai 2015, par lucien jallamion
Quintus Fabius Maximus Servilianus
Homme d’État romain
En 145 av. jc, il est gouverneur de la province romaine de Macédoine [1].
En 142, il est consul. Il part avec deux légions, trois cents cavaliers numides [2] et dix éléphants, vers la péninsule ibérique [3], tente de pénétrer en Lusitanie [4], repousse péniblement une attaque contre son camp et est contraint de se replier. Viriatus le poursuit mais subit des pertes et retourne sur ses terres.
En 141, il reprend l’offensive, occupe de (...)
12 mai 2015, par lucien jallamion
Arsitès
Satrape de Phrygie Hellespontique
Il est le satrape de Phrygie [1] Hellespontique quand en 334 av jc, Alexandre le Grand envahit l’empire des Achéménides [2]. Il refusa d’adopter la stratégie préconisée par le chef des mercenaires grecs de Darius III, Memnon de Rhodes, à savoir pratiquer devant l’armée macédonienne la politique de la terre brûlée afin de priver Alexandre de tout ravitaillement. Cette erreur, ainsi que le désastre de la bataille du Granique [3] où sa responsabilité dans la (...)
12 mai 2015, par lucien jallamion
Néoptolème 1er (vers 390-360 av jc)
Fils de Alcetas 1er . Il fut Co-roi d’Épire avec son frère Arymbas de 370 à 360 av jc. Il est le père de Olympias, de Troas et Alexandre 1er d’Épire.
11 mai 2015, par lucien jallamion
Campagne de Syrie
L’Angleterre avait décidé la Turquie à déclarer la guerre à la France. 2 armées turques se dirigèrent vers l’Egypte. L’une devait être transportée de Rhodes à Aboukir, sous la protection d’une flotte anglaise, l’autre, gagner l’Egypte par l’Asie Mineure et la Syrie. Bonaparte profita de l’hiver pour aller à la rencontre de celle-ci, avec 12 000 hommes environ et les généraux Régnier, Lannes, Kléber, Bon, Junot, la cavalerie de Murat et un régiment de dromadaires. Desaix dit le Sultan (...)