26 novembre 2012
Une politique de croissance démographique Palais du parlement du Dauphiné 15ème siècle (photo lj 1998)
Louis XI n’avait pas attendu son accession au trône pour entamer son grand dessein. En 1447, il avait été envoyé dans le Dauphiné après de nombreuses querelles avec son père Charles VII, trop lent à ses yeux à bâtir la nation. A peine arrivé, il se mit à organiser la province.
Globalement, il protégeait les initiatives des entrepreneurs et des inventeurs dans les secteurs agricole, industriel et (...)
25 novembre 2012
La fin de ce siècle marquée en France par la naissance et le
C’est par l’édit de Doullens en 1464 interdisant sous peine de mort aux "maîtres tenant chevaux pour le service du roi, de faire porter d’autres ordres que ceux du roi" que la poste vit le jour. Les mesures s’assoupliront en 1495 et en 1506 des lettres patentes établissent des chevaucheurs dans les principaux passages et villes du royaume ou il est admis qu’ils peuvent tenir hôtellerie et relais.
Dans les faits, la Poste aux chevaux (...)
25 novembre 2012
Des Régions Française en pleine évolution La Bretagne Mariage de Jean V de Bretagne et de Jeanne de France
De 1399 à 1442 règne Jean V le Sage. En 1405, Il envoi une armée de secours Bretonne aux Gallois, en lutte contre les Anglais. Son règne fut particulièrement favorable aux arts, de nombreuse construction ont lieu, Notre Dame du Kreisker, Notre-dame du Folgoët, l’église de Saint Jean du Doigt. De 1442 à 1450 lui succède François 1er de Bretagne qui même de nouvelles luttes contre les Anglais (...)
25 novembre 2012
Les bâtards royaux et le pouvoir
Turbulents, ambitieux, et conspirateurs. Sous l’Ancien Régime, le sort des bâtards nés dans le peuple n’était guère enviable mais il s’améliorait à mesure que s’élevait la classe sociale de leurs pères. En effet, en bien des châteaux, les enfants naturels étaient élevés avec les légitimes. Dans l’immense lignée des Capétiens, le bâtard, s’il était reconnu, bénéficiait partiellement du prestige et même du caractère sacré, quasi magique "Sang de France". Il était d’ailleurs (...)
25 novembre 2012, par lucien jallamion
Charles Le Brun (1619-1690)
Peintre
Fils de Nicolas Lebrun, maître sculpteur, qui commence à le former avant de l’envoyer parachever son apprentissage chez François Perrier vers 1632. 2 ans plus tard, il est repéré par le chancelier Pierre Séguier, qui le recommande à Simon Vouet. C’est dans son atelier qu’il rencontre un jeune homme qui se destine à l’art des jardins, Le Nôtre. Grâce à la protection du chancelier Séguier qui lui verse une pension, en 1642 il part pour Rome où il arrive sans doute (...)