23 octobre 2020, par lucien jallamion
Démétrios Kalos dit le Beau (vers 285 av. jc-vers 249 av. jc)
Prince antigonide-Roi éphémère de Cyrène
Fils de Démétrios 1er Poliorcète, un temps roi de Macédoine [1], et de Ptolémaïs, fille de Ptolémée 1er.
Il possède de nombreux demi-frères et sœurs nés des précédentes unions de son père, dont le roi de Macédoine Antigone II Gonatas et Stratonice, épouse de Séleucos 1er puis d’Antiochos 1er.
D’une première union avec une certaine Olympias, fille de Polyclète de Larissa [2], Démétrios a eu deux fils : le (...)
23 octobre 2020, par lucien jallamion
Ying Fusu dit Fu Su (mort en 210 av. jc)
Prince héritier de Qin shi huang
Victime d’une falsification des dernières volonté de son père, le Premier Empereur, il se suicida pour lui obéir en 210 av. jc.
Dans le véritable testament de son père, il était le véritable successeur au trône de l’empire et non son frère cadet Huhai dit Qin Er Shi.
Avant la mort de son père, il avait été exilé le long de la Grande Muraille [1] pour lutter contre les Xiongnu [2], en réponse à une querelle qu’il avait (...)
23 octobre 2020, par lucien jallamion
Philoxene de Cythère (435 av.jc-380 av.jc)
Fils d’Eulétidas, il naquit à Cythère [1] ; des auteurs disent qu’il était aussi originaire d’Héraclée du Pont [2].
La souda [3] nous dit qu’il fut instruit par Melanìppides dans l’art dont il faisait profession, c’est-à-dire la poésie dithyrambique [4], un art dans lequel, il avait obtenu un succès considérable avant 408 av.jc.
Le moment où Philoxène quitta Athènes pour se rendre en Sicile reste indéterminé. Il s’installa à sa cour à Syracuse [5], dont le luxe (...)
22 octobre 2020, par lucien jallamion
Prodicos de Céos (470/460- vers 398 av. jc)
Philosophe grec
Il naquit à Ioulis, patrie de Bacchylide et d’Érasistrate, l’une des quatre villes de l’île de Céos [1]. Il fut plusieurs fois ambassadeur pour sa cité à Athènes, et y donna des conférences qui lui valurent notoriété et richesse.
Sophiste [2], mais aussi sémanticien [3], il s’attacha à définir le sens des mots et à distinguer des mots qui semblaient être synonymes, ce qui lui valut la considération de Socrate, qui semble l’épargner de son ironie (...)