Sa fortune, d’après Lysias, avoisinait les 70 talents de son vivant, mais moins de 20 à sa mort, à cause de parasites et flatteurs.
Xénophon consacre tout un dialogue entre Ischomaque et Socrate dans “son Économique” [1], autour de l’administration d’un domaine agricole.
Il semble être un jardinier réputé, prodiguant ses conseils, discutant de gestion des affaires.
Selon Plutarque qui rapporte un fragment d’Eschine de Sphettos, c’est Ischomaque qui aurait convaincu Aristippe de devenir lui aussi disciple de Socrate.