Né et ayant vécu à Syracuse [1]. Il a compilé vers 330 un ouvrage en 8 livres sur l’astrologie : la Mathesis ou les Matheseos libri octo. Imprimé en 1501 par Alde Manuce , cet ouvrage a été réédité récemment.
Bien qu’étant assez confus en raison de la multiplication des sources compilées [2], la Mathesis servit longtemps de base aux astrologues occidentaux.
Firmicus Maternus présente dans le livre III de la Mathesis le Thema Mundi [3] et donne dans le livre VIII une signification à chaque monomère [4].
Converti au christianisme, Julius Firmicus Maternus a rédigé vers 348 un Traité de la fausseté des religions profanes [5]. Ce dernier ouvrage a également été réédité par Les Belles Lettres sous le titre L’erreur des religions païennes.