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L’histoire pour le plaisir

Claude de Malleville

vendredi 25 septembre 2020 (Date de rédaction antérieure : 5 novembre 2012).

Claude de Malleville (1597-1647)

Poète

Né à Paris, il est l’un des amis de Conrart et de Mlle de Gournay.

Secrétaire du maréchal [1] François de Bassompierre, puis secrétaire du Roi, il fut l’un des 2 opposants à la fondation de l’Académie.

Il fréquentait l’hôtel de Rambouillet [2], un seul sonnet, la “Belle Matineuse”, en fit, de son vivant, un homme célèbre. Il écrivit aussi des vers latins.

C’est par lui que Faret, Desmarets et Boisrobert furent introduits dans la Société des amis de Conrart.

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Claude de Malleville/ Portail de la poésie/ Portail de l’Académie française/ Catégories : Écrivain français du XVIIe siècle/ Poète français du XVIIe siècle/ Membre de l’Académie française

Notes

[1] Depuis la création du titre, en 1185, il y a eu 342 maréchaux de France. L’office de maréchal n’est devenu militaire que depuis le début du 13ème siècle. À son origine, le maréchal de France n’a qu’un rôle d’intendance sur les chevaux du roi. Son office devient militaire au début du 13ème siècle, tout en étant subordonné au connétable. Le premier à porter le titre de maréchal du roi de France avec une fonction militaire était Albéric Clément, seigneur de Mez, désigné par Philippe Auguste, en 1185. Après l’abolition de l’office de connétable par Richelieu en 1624, les maréchaux deviennent les chefs suprêmes de l’armée. Parfois le roi crée une charge de maréchal général des camps et armées du roi, qu’il confie au plus prestigieux de ses maréchaux. Outre leurs fonctions militaires, les maréchaux ont aussi la responsabilité du maintien de l’ordre dans les campagnes, par l’intermédiaire des prévôts des maréchaux, d’où l’appellation de « maréchaussée » donnée à l’ancêtre de la gendarmerie. Jusqu’en 1793, date de l’abolition de cette charge, il y eut 263 maréchaux de France.

[2] L’hôtel de Rambouillet est un hôtel parisien connu pour le salon littéraire que Catherine de Vivonne, épouse d’Angennes, marquise de Rambouillet tient de 1608 jusqu’à sa mort en 1665. Il était situé rue Saint-Thomas-du-Louvre (rue perpendiculaire à la rue Saint-Honoré, au sud de celle-ci), approximativement à l’emplacement de l’actuel pavillon Turgot du Louvre.