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Jean Le Fèvre de Ressons

jeudi 26 novembre 2020, par lucien jallamion (Date de rédaction antérieure : 3 août 2012).

Jean Le Fèvre de Ressons (1320-1380)

Le Palais de la Cité, siège du Parlement de Paris. Ce dernier occupe les bâtiments situés au Nord de la Sainte-Chapelle et de la cour du Mai (moitié droite de la gravure). Gravure d'Israël Sylvestre d'après Jean Boisseau. Source : wiki/Parlement de Paris/ domaine publicProcureur au Parlement de Paris [1], il est connu comme auteur et traducteur d’ouvrages moraux, qui, allusions et éditions imprimées en témoignent, jouissent d’un succès certain jusqu’en plein 16ème siècle.

Ses œuvres originales sont au nombre de deux : "le Respit de la mort et le Livre de leesce".

P.-S.

Source : Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia Jean Le Fèvre de Ressons/Portail du Moyen Âge/ Catégories : Poète français du XIIIe siècle/ Écrivain médiéval de langue française

Notes

[1] Le parlement de Paris est une institution française de l’Ancien Régime. Il fait partie des cours souveraines, rebaptisées cours supérieures à partir de 1661 (début du règne personnel de Louis XIV). Issu de la Curia regis médiévale, le parlement apparaît au milieu du xiiie siècle et prend progressivement son autonomie pour juger le contentieux sous forme d’un organe spécialisé aux sessions régulières, la curia in parlamento, que saint Louis établit dans l’île de la Cité, à côté du palais de la Cité, et qui reçoit sa première réglementation générale avec une ordonnance de Philippe III le Hardi en 1278. À partir du 15ème siècle, treize autres parlements furent érigés à partir d’institutions locales parfois beaucoup plus prestigieuses, comme l’échiquier de Normandie, ou beaucoup plus anciennes, comme les États de Provence, ou mêmes créés ex nihilo ; néanmoins, celui de Paris, cour de justice du Roi, ultime suzerain, et donc d’ultime recours, devint ainsi prééminent. On le mentionnait souvent simplement comme « le Parlement ».